Une marche sans portage, ou le dénivelé reste humainement concevable et les gîtes confortables tiennent lieu de défit à l’effort.
Et bien justement… c’est à partir d’une petite semaine de marche que commence à se mettre en place la magie du déplacement à pieds.
Une semaine c’est déjà très bien, même si, pour certains cela reste de l’ordre du préliminaire, de la mise en bouche, la version démo !
Il y en a pour tous les goûts dans le programme qui suit.
Le premier jour, c’est juste le temps, généralement, de l’ajustement du corps à l’effort. De l’abandon progressif des mille petits liens qui nous relient à nos cadres habituels.
Une semaine suffit à la grande bascule : au travers des paysages, des rencontres, tous ces « au-delà » des cols, des sommets, des horizons, des… à cheval sur la ligne de crête Franco-Espagnol.
Dans les propositions qui suivent, il y a de quoi s’épuiser de… bonheur. La formule peut paraître prétentieuse, le slogan un peu hautain, mais quand même 200 jours de marche, sur une trentaine d’itinéraires, la newsletter de ce mois-ci reste séduisante. Et c’est tant mieux : s’épuiser, s’épuiser même de bonheur, on fait de plus beaux rêves !
Jacques Salomé.
A bientôt… ici, là bas… ou ailleurs et surtout restez curieux.
Frank